Voici un des nombreux exemples de conservation d'une stèle discoïdale, stèle funéraire que l'on retrouve dans tout le Pays basque.
Celle-ci est l'une des trois qui est scellée sur le mur Sud de l'église de Viellenave (/Bidouze) à l'aide de trois bandes métalliques suivant l'angle de la pierre. Deux trois petites pierres et des cailloux servent de socle.
On peut y lire la date de 1673 et que son "propriétaire" était un notaire royal. On remarque aussi le monogramme religieux IHS , ici surmonté d'une croix, que l'on retrouve sur bien d'autres stèles basques.
Les avantages de ce mode de conservation sont :
Celle-ci est l'une des trois qui est scellée sur le mur Sud de l'église de Viellenave (/Bidouze) à l'aide de trois bandes métalliques suivant l'angle de la pierre. Deux trois petites pierres et des cailloux servent de socle.
On peut y lire la date de 1673 et que son "propriétaire" était un notaire royal. On remarque aussi le monogramme religieux IHS , ici surmonté d'une croix, que l'on retrouve sur bien d'autres stèles basques.
Les avantages de ce mode de conservation sont :
- la possibilité de rééxploiter ces stèles
- la visibilité de la quasi-totalité des stèles (façade et côtés)
Mais, on remarque quelques inconvénients :
- la visibilité de la quasi-totalité des stèles (façade et côtés)
Mais, on remarque quelques inconvénients :
- la propreté des stèles
- la netteté de ce mode de conversation (bandes métalliques souvent rouillées avec le temps, socle peu recherché.
- la netteté de ce mode de conversation (bandes métalliques souvent rouillées avec le temps, socle peu recherché.